lundi 9 mai 2016

La famille CHEVREAU et Maurice François IMBERT.

Marthe Chevreau mère de Maurice François Imbert* ; est là petite fille de Louis-Joseph Chevreau propriétaire de la Villa Chevreau rue du HAY (Grande rue) des Sièges.








Voir Recensement de 1872 ci dessous/source: archive de l'Yonne




















* Maurice Imbert ,auteur compositeur et critique musical (né à Sens le 26/04/1893;décédé à Saint Mandé le 8/09/1981);son père était notaire à Sens : http://data.bnf.fr/15116948/maurice_imbert/







Acte de Naissance de Maurice IMBERT/source: archive de l'Yonne


























mercredi 30 mars 2016

LE JET D'EAU SUITE ET FIN...

Le Jet d'eau (ou les jets d'eaux), se trouvait donc dans le parc de la Villa Chevreaux , du nom du propriétaire du terrain suivant le plan d'alignement de 1860 (archive de l'Yonne).Ci dessous la situation du terrain marqué d'une croix en 1834 (cadastre Napoléon,archive de l'Yonne).On voit qu'à cette date la maison n'existait pas encore.



La famille Chevreau possédait beaucoup de terrain sur la commune .Et les recensements montrent qu'elle est restée dans la famille durant plusieurs années.


 




jeudi 24 mars 2016

LE JET D'EAU SUITE

Cette maison bourgeoise est aussi appelée "Château". Ou villa "Chevreau" (on verra plus tard pourquoi).Sur la Carte Postale de gauche on retrouve nos deux personnages .

Même époque, je pense que les photos ont été faites le même jour  , mêmes tenues ....Cette demeure qui existe toujours ,n'est plus aussi visible qu'elle le fût à cette époque .Aujourd'hui la grille n'existe plus ,elle a été remplacée par un mur et le portail par une petite porte.
Facilement repérable avec "Google map" en autre , elle se situe au 16 Grande Rue ,anciennement rue du Hay. Une vue aérienne permet de visualiser le pourtour d'un bassin d'une dimension assez importante. 
vue aérienne Mappy. Le bassin est repéré par la croix.


Aperçu de la Villa à partir du 16 Grande Rue (Google Map):


mercredi 23 mars 2016

LE JET D'EAU LES SIEGES !

Ne sachant répondre à la question :" Sais-tu où se trouve le jet d'eau que l'on voit souvent sur les CPA des Sièges" ;je décide de mener l'enquête et grâce au recoupement d'informations des archives en ligne de l'Yonne , aux différentes CPA en ma possession et à Google Map ! Le résultat ne s'est pas fait attendre :


 Cette carte a été oblitérée en 1907 ,on y voit deux personnes .Les propriétaires ,où les domestiques du lieu !?

Celle ci a été envoyée en 1936, toujours les deux mêmes personnes avec un petit coup de vieux en plus.Le bassin de la fontaine est lui plus petit. A apparemment il ne s'agit pas de la même fontaine.
Alors...?!

jeudi 7 janvier 2016

RUBY VICTOR 14-18 Blessé

 



Médiathèque Jean-Christophe RUFIN de SENS,
journal l'Avenir de l'Yonne








Fait relaté dans les Journaux de Marche et d' Ordres: "La batterie reçoit des obus de tous calibres ...Le terrain en avant et en arrière des pièces est complétement bouleversé ,pas le moindre dégât à signaler, la batterie a continué à tenir pendant toute la journée...Pendant le déjeuner la maison où les officiers prenaient leur repas a été démolie par une section d'obusiers ,les officiers sont sortis indemnes, l'aspirant Ruby de la Vè Batterie a eu la jambe coupée ...

lundi 7 décembre 2015

RUBY : La croix de guerre à une automobiliste ,Mme de SUBLIGNY née RUBY.

Extrait "Le Rappel" du 100 juin 1916 :
   "Dernièrement sur la place de l'Hôtel-de-ville, à Bar-sur-Aube, le capitaine Le Lorrain, inspecteur des services automobiles de la région, remettait la croix de guerre à une vaillante femme, Mme de Subligny, automobiliste de service santé.


    Après avoir débuté à l'ambulance temporaire des Dames française au lycée de Troyes, Mme de Subligny entra au service de santé du front où elle se signala fréquemment en allant courageusement chercher, sur le terrain battu par le feu de l'ennemi, les bléssés qu'elle ramenait dans les formations sanitaires au moyens de la voiture automobile dont elle avait la conduite..."
Article "Automobilia du 15 avril 1918".


 

Article "Le Gaulois du 10 juin 1918".




RUBY : Mme et Mr RUBY en Chine 1901





Extrait:"A table, j'avais près de moi l'agent des postes françaises de Pékin, M. Ruby, dont la femme est directrice de l'école normale de Quimper. Il y a quelque distance entre ces deux époux. Les sujets de conversation ne nous ont pas manqué. Après déjeuner, le repos s'impose : il serait imprudent de sortir par cette chaleur intolérable. Comme tout le monde, je me livre aux douceurs de la sieste; mais, à quatre heures, bien que médiocre cavalier, je monte à cheval avec Sicard, et nous gagnons le temple du Ciel, qui est à côté de la gare, dans le sud de la ville, à trois kilomètres environ des légations. L'intérieur du temple n'offre rien de particulièrement intéressant, que son immensité; mais le dôme est peint d'un bleu agréable à l'oeil, et encadré dans de beaux arbres, au centre d'avenues où l'on peut galoper tout à son aise, quand on est sûr de ne pas prêter à rire aux Chinois par une subite rupture d'équilibre. Un trot digne et soutenu suffit à mon ambition. Mais le lendemain, samedi, ma modestie équestre a été mise à une rude épreuve : trente-six kilomètres à cheval ! A six heures et demie du matin, nous sommes partis pour le palais d'été, munis d'une autorisation anglaise. Avec Sicard et- M. Ruby, il y avait un médecin, venu de Tien-tsin, un aspirant du d'Entrecasteaux et M. de Sieyès, élève interprète. Mais les Italiens étaient établis là en maîtres, et ils nous ont quelque temps refusé le passage. L'arrivée d'un capitaine italien, que connaissait M. Ruby, a enfin permis à nos coolies d'introduire à l'intérieur du palais le déjeuner froid que nous avions préparé, et à nous de le suivre.